jeudi 19 octobre 2017

Octobre va mieux...







Jeudi 19 on change de page pour la commodité de la lecture.
Le remontage reprend et avance bien.

Tout d'abord choisir les silencieux.
 Il y en a deux paires de qualité et d'esthétique inégales. Le choix étant fait, il faut les assembler avec un joint étanche (une sorte d'amiante) et un collier de serrage.


Ensuite il faudra les mettre en place en les réglant au mieux en écartement. Ce réglage se fait au niveau de la liaison coude/silencieux avant blocage.


Le gauche est en place :


puis le droit.


Les deux vus de dos, il n'y a pas à dire, ça habille bien une moto les pots !


Les carburateurs sont installés : le droit


et le gauche.


Enfin, j'ai vidé la voiture, la 350 en pièces a remplacé les cartons de la 350 remontée,
du coup, tout est encore plein...

Vendredi 20 pas de temps pour bosser alors, juste un changement des couvercles de carburateurs car j'en ai trouvé une jolie paire sur le moto rentrée mercredi.


Après avoir posé une batterie, j'ai pu tester le circuit électrique. Habituellement, c'est une chose que je réussis bien l'électricité... ben là rien ne marche ! Non j'exagère un peu, l'éclairage avant fonctionne ainsi que le stop, mais pas de feu arrière, de clignotants, de klaxon ni de démarreur...
Demain il va falloir sévir.

Samedi 21 journée de problèmes insolubles. J'ai commencé par les clignotants, fastoche : il manquait une ampoule et sur les trois autres une n'avait pas la bonne puissance, il fallait mettre les clignotants de devant à la masse et, de plus le branchement arrière était inversé.
La totale quoi, mais ça a fonctionné assez rapidement en tous cas c'était limpide.

Pour le reste ce fut plus délicat pour rester poli. Le démarreur et le klaxon restent toujours muets. Les appareils eux-mêmes sont fonctionnels, les branchements semblent bons et pourtant...

Voici les armes, pas absolues visiblement ! Batterie, multimètre, lampe témoin et mise à la masse.


Pour le démarreur, quoique il me paraisse bon, j'ai commencé par changer le bouton poussoir, puis (re)testé le relais et le démarreur : ils marchent.
Tout est branché normalement et pourtant rien, pas de réaction...




Pour ne pas rester sur cette mauvaise impression, j'ai monté le câble de gaz,


ensuite retour sur le klaxon, là ça a été une bataille acharnée. Le klaxon klaxonne, les fils sont bons, le poussoir aussi et pourtant là encore, il reste muet. C'est incompréhensible et je n'ai pas trouvé. J'ai tout essayé, vérifications, branchements directs etc. Très énervé après plusieurs heures inutilement passées là-dessus, j'ai donc laissé comme ça.
On verra lundi...
Pour sourire un peu, voici le moteur de la 350 rentrée la semaine dernière. Bien emballé on dirait une momie, il est refait paraît-il...


Dimanche les problèmes électriques me tracassant, petit tour au garage. Vérification ultime des appareils, tout est OK les branchements aussi, je me rends compte alors que le courant est partout dans le guidon : tilt !
Un fil de masse reliant le guidon au moins batterie et pouet fait le klaxon, brr brr fait le démarreur...
Il m'a suffi de mettre le guidon à la masse, fastoche c'est juste derrière le phare et tout marche sauf le témoin de point mort, peut-être l'ampoule ?

Mardi fourche et moteur sont mis en huile, le câble de frein monté et la selle reçoit un jonc de tour tout beau. Le précédent était tordu, percé et il n'épousait pas bien la forme.
Celui-ci quoique pas parfait est nettement plus joli.




Je vérifie enfin une dernière fois les branchements et remplace le fusible bricolé par Armand...


J'aurais aimé essayer de la faire démarrer avant ce week-end, ce n'est pas gagné il y a d'autres choses à faire parallèlement.

Mercredi coucou les gens ! Figurez-vous que rien ne va. Une plaie. 
Je voulais régler l'allumage : contact et rrrrrrrr le démarreur tourne en permanence. 
Hier tout allait bien. Alors pourquoi le poussoir au guidon (car c'est lui qui est en cause) s'est mis à décounailler tout seul sans servir ?
Quoi penser, je n'en sais fichtre rien. Ensuite il y a le spi de commande d'embrayage qui fuit. Normal, c'est à l'endroit où les deux carters ne joignent pas bien, le spi ne peut se trouver convenablement en place. je comprends mieux dès lors pourquoi Armand avait posé une espèce de joint par dessus... en caoutchouc rose ! 
Enfin et ce sera tout pour ce soir, le rotor s'est dévissé en tournant, mal ou pas bloqué sans doute.

Demain sera un autre jour ! 

Jeudi grand rangement dans le local des pièces, 9 m² et pourtant une vache n'y trouvait 
plus son veau !.. Du coup peu de boulot sur la moto.
Le commodo du démarreur ouvert laisse apparaître un bout de fil dénudé qui touche le métal. Un peu d'isolant en ruban et hop ça marche !
Ensuite changement du mécanisme de l'avance centrifuge et du plateau avec ses rupteurs.
Le mécanisme d'avance était très usé. Les rupteurs fatigués et le plateau bien marqué. Le changement ne fut pas du luxe.

Avant :


Après :




URGENT à tous : remplissez ce questionnaire, c'est TRES important :


Vendredi, j'ai passé l'après-midi à batailler sur le réglage des rupteurs !
Ce n'est pas compliqué, c'est fastidieux et peu commode.

On commence par régler l'écartement des rupteurs. C'est le plus embêtant car il doit être strictement identique pour les deux. Je n'y arrivais pas, c'est très précis. 
Ayant perdu énormément de temps pour rien, j'ai tenté de changer celui de droite par un neuf que j'ai trouvé dans mon stock et ensuite tout a été beaucoup mieux.

L'écartement ci-dessous est compris entre 0,3 et 0,4 mm


Une fois ce réglage fait, on peut régler l'avance en faisant pivoter le plateau qui supporte les rupteurs. 
Ce n'est pas difficile mais il faut une lampe témoin.
Là ça marche, la lampe est allumée...


Une fois tout réglé très précisément on ferme.


Samedi je pensais tenter le démarrage du moteur, mais il y a la bourse de Cadaujac 
et les copains à voir !

Lundi 30 ça y est elle a craqué ! Soyons francs, juste craqué brrrr brrrrr et encore avec du "start pilote" en effet pas une goutte d'essence n'arrive aux cylindres.
Hier soir j'ai vérifié la tension de la chaîne de distribution et le jeu aux soupapes.
Ce matin, réglage du témoin de point mort, essai à blanc du passage des vitesses, montage de la commande d'embrayage et du câble.
Cet aprèm tout le monde dehors et on essaie. La batterie est juste chargée, elle ne ragassera pas longtemps, ça tombe bien, c'est inutile vu qu'il n'y a pas d'essence à l'horizon !
Retour sur la table et on démonte les carbus dont les gicleurs sont propres et les membranes bonnes a priori. Demain je vérifierai de près.
En attendant, j'ai porté au chromage le garde-boue avant k0 spécifique et introuvable, ainsi qu'un carter de chaîne. Ces pièces partent au Portugal...
J'ai aussi récupéré un couvercle de klaxon rouillé comme pas possible, mais sans poc ce qui est rare. Ponçage à blanc (c'est long) et apprêt. Demain peinture :


Il faut que demain elle tourne, au pire je lui monterai une paire de carbus d'emprunt !

Pendant que je bossais, mon commis chassait, le bougre est chasseur dans l'âme. Un grand bruit de galopade derrière l'atelier et un envol de faisan (je connais ce fracas). Le commis a donné un peu d'élan à une faisane qui fort heureusement n'a eu qu'à monter dans le grand chêne bicentenaire d'où elle lui a fait des grimaces :


Mardi 31 octobre je m'étais (en secret) fixé cette échéance pour redémarrer la belle !
C'est ric-rac mais chose faite, la preuve :


Oh certes, le moteur est bruyant et il reste des réglages à reprendre, notamment des soupapes et des carbus qui sont capricieux au niveau de l'arrivée d'essence.
L'allumage est au top, sur ce coup je me suis auto-étonné !

De fait les carbus sont usés, très usés et difficiles à régler. 
S'il le faut je les changerai mais j'aurais bien aimé les garder vu que ce sont les premiers modèles extrêmement rares.
J'en ai une paire provenant d'une k2, tout beaux dedans voire neufs mais dans un état minable dehors. Comment peut-on refaire un intérieur en laissant l'extérieur comme ça ?


Comme il restait un peu de temps le klaxon a été fini en peinture.


Le remontage va pouvoir être poursuivi...







mardi 10 octobre 2017

Octobre continue mal...









Mardi 10 octobre, vous allez rire, moi beaucoup moins...

Ce matin en mettant un (tout petit) peu d'ordre, j'ai trouvé un frein arrière de 125 k5. Banal me direz-vous, oui mais, il y a un mais. Ce frein je l'ai vendu la semaine dernière !
Pris d'un affreux doute, aidé par mon commis, nous plongeons dans les bacs.
Force est de constater que le frein arrière de la 350 n'est plus là !
Vous avez deviné, un troll facétieux a interverti les deux. Mon beau frein arrière est parti...
Perdrais-je la tête ?
Mails, téléphone, ouf, c'est arrangé, il ne reste plus qu'à attendre le retour.

C'est couillon ma roue elle, est revenue :


Elle est toute belle avec son gros k82 et une chambre renforcée, oui renforcée, on ne se refuse rien.


Une dernière vérification, on voit sur cette photo que les carters ne sont plus appairés, en effet Armand avait changé celui du haut. Il l'avait cassé lors d'une grosse casse moteur (!)
C'est d'ailleurs sans doute pour cela qu'il a modifié et agrandi la fenêtre de lubrification sous la pompe à huile.


La nuit a porté son conseil : on remonte !


Le moteur est remis dans le cadre, c'est assez facile finalement. Par contre c'est bien de ne pas avoir tous les périphériques, on doit gagner 10/15 kg  et ça n'est plus un "baise" dos.
Enfin gaffe quand même !


La roue arrière est posée à blanc pour pouvoir bouger la moto et la mettre sur la table.
Ainsi, elle a fait ses premiers tours de roue.


Il reste de quoi remonter quand même.


Mercredi 11 octobre 26° c'est l'été ici et à Biscarrosse aussi, j'en connais un qui va bondir pas vrai Gilles ? Du coup la famille passe plus de temps dehors que dedans...
J'ai avancé un peu quand même :

Côté droit le barda qui assure le fonctionnement de la boîte. Le mécanisme de sélection avec petite fourchette et ressort tout neufs.


Puis l'embrayage, les pignons de transmission et la pompe à huile. Tout ça doit être emboîté ensemble, le plus délicat ce sont les deux pignons (au-dessus de la pompe à huile) qui sont décalés. Sans s'énerver on y arrive assez facilement, il y a bien pire !
Ne pas oublier de freiner les vis de la pompe. A ce propos j'ai senti deux filetages fatigués : un sur la pompe et un sur le démarreur.


L'embrayage est refermé, il ne faut pas oublier de poser la butée sous le couvercle du plateau de pression. L'épurateur est monté dans la foulée.


Enfin, ci-dessous la douille à créneau qui permet de débloquer l'épurateur et ainsi de sortir le mécanisme d'embrayage. Sans elle point de salut.


Pour finir pose du démarreur. Il m'a fallu de l'aide car le câble d'icelui est épais et gainé de caoutchouc protecteur, le passer derrière est une gageure. Il s'avère en plus que la longueur est un poil juste et que son cheminement devra être modifié. Il n'y avait pas de câble sur cette moto et j'ai dû piocher dans mon stock. Cela ne m'empêchera pas de dormir...
A demain et bonne nuit !


Jeudi nous avons mon commis et moi fini de refermer le moteur.
Le côté alternateur d'abord. En premier poser ensemble les pignons et la chaîne, chapeauter tout ça à l'aide du rotor d'alternateur, faire cuire à feu doux pendant dix minutes, le temps d'aller boire un verre de flotte...


De retour, fixer le stator au petit carter - fort bien préparé soit dit en passant - et visser le tout sur le moteur. Nous mettons joint et vis neuves: on ne se refuse rien.
On obtient alors un côté gauche presque fermé. Presque, puisqu'il faudra  régler l'allumage.
La fermeture définitive se fera après.


La commande d'embrayage trouvée par hasard dans l'herbe sur le chemin entre l'atelier et le garage est mise en place. Cela lui évitera de s'échapper.


Enfin le carter d'embrayage est refermé, joint et vis neuves aussi évidemment.
Le polissage de ce carter est moche, il est impératif que j'arrange ça !


Demain pas d'atelier, nous allons chercher une épave de 125 SL qui permettra de compléter en partie celle qui est en cartons sur les étagères.

Vendredi ça y est la sl est à la maison. C'est une moto incomplète avec pourtant quelques trucs en double notamment un cadre et un réservoir en très bon état.
Il y a la carte grise et elle n'est pas si moche que je pensais, j'ai eu pire !
Avec celle que j'ai déjà à laquelle il manquait le moteur, les roues et le bras oscillant, je vais pouvoir en reconstituer une ou presque. Il manquera toujours les caches latéraux et l'échappement. Un gros morceau le pot, impossible à trouver je crois...
Cette moto sera restaurée dans quelques mois, après celle d'Armand évidemment, après la 350 k4 qui attend et après le p50 qui attend lui aussi son remontage.
Pas demain quoi...




Le commis a eu droit à un bon nettoyage, ce qui l'a particulièrement énervé
ça se voit à la tronche !


Pour le moral un petit avant/après



Demain encore pas d'atelier, on va chercher une fourgonnette ce coup-ci...

Lundi 16 on a ramené la fourgonnette de Dordogne, voiture sympa avec une couleur qui pète ! Bel état mais deux jours de nettoyage pour la mettre au niveau de mon exigence automobilesque.
Je n'aime pas rouler dans une poubelle...
Nous avons fait un crochet par la bourse de Lalande de Fronsac, petite bourse sympa mais qui, cette année débutait le vendredi soir. Ce que l'on pouvait penser s'est produit : personne, peu de vendeurs, peu d'acheteurs ! J'avais envoyé un mail à l'organisateur lui disant que c'était une couillonnade, 
je n'avais pas tort. Par contre j'y ai acheté une jolie et rare selle de 125 k4.

Du coup je n'ai eu que peu de temps cet aprèm pour la moto. Finalement ça tombe bien je ne peux plus remonter grand chose sans la roue arrière. Le frein devrait arriver demain.
J'ai donc bossé sur l'ensemble bobines-klaxon-centrale des clignotants- contacteur. 
J'ai un souci personnel depuis toujours, c'est la vision en miroir. C'est à dire que je suis incapable de mettre à l'endroit un truc que je vois à l'envers et, plus j'y réfléchis, moins j'y arrive.
C'est très pénible car à ce jeu je recommence beaucoup.
En plus, avant de commencer, il a fallu trouver des bricoles qui - curieusement - manquaient à l'appel.

Les caoutchoucs du support par exemple :


Les deux entretoises dessous sur la photo et le support de la centrale clignotants :


Pourquoi ces morceaux manquaient ils ? Mystère.
Il faut dire que ces éléments ont été préparés en juin 2016 pendant que l'on préparait le déménagement, déjà que j'ai pas besoin de ça !..
Encore une fois, heureusement que j'ai du stock.

Ensuite il a fallu supprimer un branchement "Armand perso" qui amenait le jus vers le relais de démarreur auto qu'il avait adapté, c'est le fil noir sur la photo :


Enfin j'ai réussi, je n'ose pas vous dire le temps passé à poser, sortir et remettre ces trois machins...
Il ma manque le couvercle de klaxon, ça je ne suis pas sûr d'en avoir.


La photo n'est pas rongée, c'est la gueille blanche qui couvre la moto.


Même les bougies que j'ai changées : trop fort le Alain !
Le cache chromé sera viré évidemment.


Mardi nettoyage du moteur... de la fourgonnette, on ne le voyait plus sous la poussière !
Sur la moto,
pose des joints d'échappement, vue la tronche des anciens, ce n'est pas du luxe.


Puis pose des pipes d'admission :



Vient enfin le tour du pignon de sortie de boîte. 
J'ai travaillé au fur et à mesure des trouvailles des fonds de cartons,
ensuite je me suis attelé à l'électricité.


 Brancher tout ce qui ne l'était pas, trouver le passage des fils au plus près du câblage d'origine. 
C'est de l'à peu près, à cause des fils que j'ai dû allonger et surtout parce que le faisceau des k0 est spécifique lui aussi. En principe la centrale des clignotants se trouve sous ou sur le bac batterie. Ce bac n'ayant pas d'emplacement dédié, je l'ai remise à l'endroit où on la trouve sur toutes les 350 : 
sous le réservoir.
Du coup, j'ai fait un petit faisceau pour ramener tout ça à l'avant de la moto, en effet les fils sortaient du faisceau au niveau de la batterie.


Devant c'est fait, j'ai tout retrouvé et il reste à caler proprement ce barda !


Demain pas d'atelier, je vais chercher une 350 k2 démontée, presque complète : surprise...

On est demain ça y est. J'ai pris la nouvelle fourgonnette qui "claque sa mère" (avec celle-là je suis sûr que les gars me reconnaîtront...) et je suis allé chercher la 350 k2 en cartons.
C'est vrai qu'elle est complète, il ne manque que le phare et des clignotants comme annoncé par le vendeur sympa. Est-elle restaurable, mystère il y aurait énormément de boulot et un coût prohibitif je pense, en tous cas il y a de la pièce, faudra bien réfléchir.


Voilà l'affaire :




De retour, j'ai pu bosser un peu cet aprèm. Il faut avancer pour faire de la place, car il n'y en a pas   pour ces cartons nouveaux.

On a fixé proprement tous les fils après avoir passé le petit faisceau pour la centrale.


Un protège-fils Honda pour les branchements derrière sous la selle


Il restera ceux-ci à passer sous la plaque de selle. Je me demande si le faisceau n'a pas été beaucoup plus transformé que je ne le pensais, car habituellement il n'y a pas tout ce fatras de fils partout. En tout état de cause, les connexions sont propres, fiables, fixées et, en principe, correctes.


Le frein arrière récupéré dans l'après-midi est mis en place et


sa pédale avec, évidemment.


En haut de la photo, le ressort de pédale que j'avais égaré. Contrairement aux apparences, 
il est assez facile à mettre en place.


Faisons un point sur les éléments restant à monter :
- chaîne
- repose-pieds arrières
- barre repose-pieds avant
- cache sortie de boîte
- carburateurs et filtres à air
- tous les câbles
- gréer le réservoir et les caches latéraux
- échappements
- plateau d'allumage et rupteurs
- divers caches après les réglages de base
- mise en huile du moteur et de la fourche
- batterie, essai de l'électricité

Tout ceci dit en vrac, il y aura forcément un ordre logique, mais il reste du travail pour plusieurs jours, d'autant qu'il reste des finitions notamment sur les carters moteur.